– Acceptabilité sociale des règles et des politiques publiques
– Légitimité perçue des politiques publiques
– Transition écologique, mobilité durable et sécurité routière
– Perception d’efficacité, d’efficience, d’équité, alignement moral
– Stratégies de changement d’attitude et de comportement dans les campagnes de communication
En 2018, j’ai obtenu un Master en Psychologie Sociale, à l’Université Toulouse 2 Jean Jaurès, qui m’a permis de réaliser mes premières recherches expérimentales dans la discipline. Je me suis notamment intéressée aux questions de discrimination à l’embauche à travers des travaux menés sur le Backlash-Effect, qui se focalise sur les conséquences négatives liées aux comportements contre-stéréotypiques, ainsi que sur le biais de favoritisme endogroupe, les représentations sociales, la théorie du comportement planifiée, ou encore le sentiment de (dé)responsabilisation.
Par la suite, j’ai obtenu, en 2019, un Master en Santé publique, parcours Promotion de la Santé et Prévention au sein de l’École des Hautes Études en Santé Publique de Rennes, dans le but de me spécialiser sur les stratégies de changement de comportement en santé, la prise en compte des inégalités sociales de santé dans les politiques publiques, les méthodes mixtes et la conduite de projet. Dans ce cadre, j’ai réalisé un stage de recherche interventionnelle au sein de l’Institut Fédératif d’Etudes et de Recherches Interdisciplinaires Santé & Société, à Toulouse, visant à appréhender la notion de contexte dans le cadre des interventions complexes en santé publique et de leur transférabilité.
J’ai ensuite travaillé, de 2019 à 2025, en tant que chargée d’études et de projets, dans le domaine de la prévention du suicide, à l’Institut Régional Jean Bergeret à Lyon, pendant 1 an, puis dans le domaine de la pair-aidance en addictologie, à l’Association Je Ne Fume Plus, pendant 5 ans. Parallèlement, j’ai intégré l’équipe pédagogique du Master de Promotion de la Santé et Prévention à l’EHESP, en animant des ateliers autour de la méthodologie du mémoire et en encadrant plusieurs mémoires.
En doctorat, démarré en octobre 2025 à l’Anthropo-Lab, je travaille à présent sur la légitimité perçue des politiques publiques liées à l’environnement et à la mobilité, ainsi que sur les facteurs influençant leur acceptation par la population, via une démarche de recherche en psychologie sociale expérimentale.